le 7 mai 2021
Tout est une question de volonté, une alimentation saine et voilà, qu’ils disent !
- Et si cela était bien plus complexe que ce qu’il n’y paraît ?
- Et si notre loyauté inconsciente à nos parents, notre clan et aux croyances qui y sont inscrites, jouait un rôle crucial sur notre corps ?
Quand la psychogénéalogie et le transgénérationnel s’en-mêlent :
- Quand une problématique liée au poids se présente, on a de grandes chances pour arriver à la conclusion que le problème n’est pas le problème.
- Que ce soit perdre, prendre, ou gagner, ces trois verbes à eux seuls peuvent déjà nous aiguiller sur l’origine réelle de la difficulté rencontrée, bien souvent liée à ce que nos lignées généalogiques ont pu vivre et inscrire.
- « Nous pourrions venir à manquer, faisons des réserves », « Avant que le gros ne soit devenu maigre, le maigre sera mort », « Mieux vaut faire envie que pitié », « Sois fort(e) », « Les hommes sont dangereux, je dois les tenir à distance»… sont autant de croyances et de symboles dont nous avons hérité de nos ancêtres et qui peuvent ainsi en dire long sur notre apparence physique et nos comportements.
Quand l’éducation et l’amour reçus de nos parents jouent un rôle tout aussi important sur notre poids.
- En effet, le type de nourriture affective que nous avons reçue dans notre enfance, auprès de notre mère et de notre père, pèse aussi fortement sur l’adulte que nous devenons.
- L’absence de ceux qui sont sensés être là pour nous dans les premières années de notre vie, la toxicité de l’un d’eux dans sa manière de nous « aimer », ou bien des traumatismes émotionnels que nous avons pu vivre et ressentir dans notre enfance, se sont inscrits comme de vrais poids dans le corps.
- En gardant ces absences, toxicités ou traumatismes émotionnels ainsi dans notre mémoire cellulaire et notre corps, nous cherchons à les guérir et/ou nous en protéger inconsciemment dans notre présent.
- Combler le vide vécu en mangeant plus qu’il n’en faut pour notre corps, palier le manque de douceur de notre maman en mangeant des choses sucrées, fuir la toxicité de nos parents en rejetant la nourriture cuisinée par ceux qu’on aime, en s’extrayant de tout plaisir gustatif ou en développant une attitude d’attraction/répulsion face à la nourriture, sont quelques exemples parmi tant d’autres qui nous pèsent et nous éloignent de nous-même.
Enfin, n'oublions pas le poids que nous ajoutons nous-même à nos vies et qui nous alourdit.
- Monter en conscience sur ce que chacun de nous porte au quotidien aide aussi à mieux cerner la problématique liée au poids.
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Reprendre l’entreprise familiale, gérer des conflits qui ne nous concernent pas, faire le travail du collègue qui ne s’en sort pas, ou encore soutenir inconsciemment un être cher en reprenant son mal-être ou ses échecs pèsent lourdement en nous.
Voir tous ces gros cailloux que nous ajoutons nous-même dans notre sac à dos et nos poches pour avancer est essentiel pour pouvoir les déposer sur le coté de la route et se sentir plus léger sur notre chemin.
La libération passe par un travail sur notre inconscient :
- S’ouvrir à ces mémoires transgénérationnelles, comme nous le faisons dans la Méthode Charbonnier et dans d’autres méthodes comme la kinésiologie ou l’étiomédecine par exemple, est une source de libération certaine du poids du passé dans notre présent et dans notre être.
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Pour plus d'informations sur la kinésiologie https://www.formation-kinesiologue.fr/la-kinesiologie/ ; sur l'étiomédecine http://www.toulouse-etiomedecine.fr/etiomedecine-definition.html
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