Bienvenue dans la découverte de la méthode que j’ai mise au point. Je vous invite à faire quelques pas en ma compagnie, à la rencontre de mon histoire et de celle d’une création singulière.
Parcours social et tourments internes
La Méthode Charbonnier est issue d’une rencontre entre mon évolution professionnelle et mon besoin de mettre fin à mes souffrances.
Mon entrée dans la vie active reflète superbement mon impossibilité de m’insérer dans la société. En 1973, alors que je termine mon année de seconde au lycée, je vois mon bulletin spécifier : « Inapte à redoubler, inapte à passer en première. » Hélas, j’ignore encore que mon destin s’écrit entre les lignes. J’erre de travail en travail, effectuant plus de vingt jobs en cinq ans. En 1979, je reprends des études d’éducateur spécialisé. Diplômé en 1982, ni vraiment dans la société, ni vraiment en dehors, je travaille auprès d’adolescents durant dix ans (seulement quatre postes différents durant cette période, ça se calme). J’apprends les fondements de l’accompagnement en fondant ma compréhension sur la psychanalyse. En 1992, j’oriente ma carrière vers la formation, le bilan de compétence et le recrutement, centrant mon effort sur l’aide aux plus défavorisés. Dix ans encore s’écoulent, pendant lesquels je m’ouvre à différents modèles, tels que la PNL, l’analyse transactionnelle, l’analyse systémique et bien d’autres encore. Mon refus de m’inscrire dans une chapelle me confère une vision globale et je réalise que ces modèles de compréhension de l’humain sont tous fragmentaires. Je commence à réfléchir à un « méta-modèle » s’inspirant de ceux existants, mais je se sens limité dans mon institution. Je me forme alors au coaching et m’installe à mon compte en 2003. J’accompagne des PDG de PME durant trois ans, mais encore et toujours, je ne me sens pas à ma place… d’autant plus que j’ai inventé le Festen en 2001.
C’est ici que l’aspect personnel intervient. Globalement, je vis mon enfance et mon adolescence hors du monde. Roi de la rigolade, rien ne m’intéresse vraiment, ni ne me tient en place. Extérieurement, je suis le clown et garde mes pensées sérieuses pour moi. Mais que faire ? Ma soif de justice et la sensation qu’un grand destin m’attend sont balayées par la réalité : sans formation et sans qualification, qu’espérer ?
Un malaise profond m’accompagne, enfoui sous un humour caustique et triomphant. Il s’accentue quand je m’engage dans une relation amoureuse et éclate en 1985 à la naissance de mon premier enfant. Des angoisses incessantes me terrassent, du réveil à l’endormissement, une oppression dans la poitrine qui jamais ne me quitte… Et par-dessus tout, une sensation d’inanité, de vide me donne l’envie d’aller me terrer dans une grotte au fond du Larzac (pourquoi le Larzac, on se le demande).
Ma souffrance devient si intense que le rire seul ne parvient plus à la recouvrir et me pousse finalement vers le divan de la psychanalyse : une cure de sept ans, à raison de trois séances par semaine.
Enfin, je comprends les raisons de mon affliction. Cette histoire est détaillée dans le mode d’emploi du Festen, livre exposant l’étape 1 de la Méthode Charbonnier. Disons seulement que le déclic de ma guérison se produit grâce au film Festen, de Thomas Vinterberg, en honneur de qui je nommerai la cérémonie de libération que je mets au point et que j’accomplis donc en 2001.
Du coaching à la Méthode Charbonnier
C’est à cette époque que les lignes professionnelles et personnelles se rencontrent. Comment se limiter au coaching ? Au final, même si les dirigeants vont mieux et sont plus efficaces, cela ne fait qu’alimenter une machine que j’exècre et qui n’a de cesse de robotiser l’être humain, de le déshumaniser. Mon désintérêt augmente d’autant plus que ma cérémonie me fait réfléchir : je veux comprendre les ressorts de ma libération. Mes recherches me conduisent à une compréhension qui me guide dès lors : derrière chaque souffrance, il y a une peur.
J’oriente alors mon coaching vers les particuliers et traque avec eux leurs peurs inhibantes. Après plusieurs années de recherches et l’écriture de mon premier livre, Se libérer de la souffrance et construire son bonheur, j’accompagne un premier client dans la réalisation de son Festen. Nous sommes en 2007. De ce jour, j’améliore, j’étoffe le contenu de la cérémonie de libération, découvre de nouvelles clés…
Je constate rapidement que le Festen n’est qu’une étape, et même qu’il n’est que le début de l’aventure. Ces progrès me conduisent à l’écriture d’Entre vous et le bonheur, il n’y a que des peurs, puis Festen mode d’emploi, suivi de la deuxième édition, Festen 2.0. Je commence aussi à former des accompagnants, mais la formule est incertaine. En effet, l’art du diagnostic (la compréhension de la formation des peurs) et de l’accompagnement, nécessite de travailler encore plus sur soi et requiert un engagement colossal que peu de personnes sont capables de développer. Après avoir ouvert les portes de la formation à près de cent personnes, seule une vingtaine s’engage résolument dans la démarche.
En 2022, quinze ans après le premier client « festenné », je sens qu’il est temps de présenter au monde les fondements de ma méthode. Ma vision était claire : un livre d’introduction, quatre pour exposer ses quatre étapes. Chacun de ces livres sera une aide à l’élévation de conscience et un appui à la pratique durant l’accompagnement.
L’introduction à la Méthode Charbonnier, Il est temps, est une véritable déflagration, englobant les causes extérieures de la souffrance et les causes intérieures, construites par chacun de nous. Si vous souhaitez comprendre sur quoi se fonde la Méthode Charbonnier, les solutions qu’elle offre et ce que vous en retirerez, commandez-le dès maintenant ICI.
Les fondements de la Méthode Charbonnier
À partir des multiples modèles que j’étudie et que je manipule, je dégage une compréhension unique de l’évolution de l’humanité et de la structure mentale de l’être humain.
Côté humanité, je fusionne plusieurs visions de l’histoire : celle de Karl Marx (vulgarisée de façon exemplaire par Francis Cousin), celle des Esséniens (enseignée avec brio par Guilhem Cayzac), ainsi que celle du plan d’Ascension Collective qu’évoque la spiritualité contemporaine. Enfin, je porte une attention toute particulière à la compréhension des égrégores et à leur puissance.
Côté humain, à partir de l’étude de multiples disciplines, ainsi que de traditions spirituelles, je crée mon propre modèle du fonctionnement psychique de l’homme.
Il ressort de ces deux axes, que loin d’avoir évolué, l’humanité subit au contraire une involution dramatique… et que celle-ci elle a été organisée.
Qu’est-ce que l’involution ?
Le progrès a un prix : nous le cherchons à l’extérieur de nous. Chaque progrès scientifique, technologique, social se paye par une perte de connexion spirituelle : plus vous êtes cartésien, moins vous croyez aux énergies subtiles, aux égrégores, au monde vibratoire… Dommage, parce que c’est 99 % de ce que vous êtes.
Votre vie repose sur des énergies subtiles. On pense bien sûr aux émotions, mais regardez : quand l’un de vos proches va mal, vous le savez, sans même qu’il ne prononce un mot. Comment le savez-vous ? C’est parce que vous percevez ses vibrations et que vous savez les interpréter.
Il existe bien d’autres énergies subtiles que nous ne développerons pas ici. Constatons juste que l’humanité a commencé par perdre sa reliance à la nature, puis ses capacités télépathiques, puis l’amour de son prochain… pour arriver enfin, avec la révolution néolithique et la possibilité de stocker les céréales, à la perte de l’Etre au profit de l’avoir.
Un seul regard sur le monde nous le démontre : l’homme est mené par l’avoir, le faire, le savoir, et le pouvoir : consommer, produire, dominer, polluer, détruire…
Lorsqu’il vivait dans l’Être, il était tourné vers l’intérieur. Seuls l’intéressaient le bonheur et la recherche de son identité profonde, le fameux « Qui Je Suis Vraiment ». Il passait sa vie à se découvrir, à connaître ses talents et à les manifester.
Avec l’avoir, il s’est tourné vers l’extérieur, c'est-à-dire vers le progrès. Regardez-le avec cet œil : plus vous confiez votre vie au progrès, moins vous vivez par vous-même. L’exemple de la médecine est frappant. Vous confiez votre santé à des médecins… vous coupant ainsi de votre médecin intérieur. Avez-vous remarqué que les grands sages n’étaient jamais malades ? Comment font-ils ? Leur santé est tout simplement en eux, aucun miracle là-dedans.
De la soif de la possession et du progrès est née la cupidité et dans son sillage, l’asservissement, les conquêtes. Elles ont provoqué la destruction de la nature à laquelle nous assistons, impuissants. C’est une véritable machine qui a vu le jour, a grandi et finalement s’est emballée jusqu’à ce que nous assistions à la naissance de ce monde horrible que Georges Orwell a décrit dans 1984.
Mais selon moi, ces dégâts extérieurs sont minimes par rapport aux préjudices intérieurs qu’a causé cette machine infernale.
Des peurs à perte de vue
Avant que la société et la famille ne soient les fondements de l’humanité, les hommes vivaient en clans et le clan pourvoyait aux deux besoins fondamentaux de l’être humain : l’amour et la sécurité. La totalité des femmes apportaient l’amour et les hommes la sécurité. Ces énergies subtiles qui englobaient la communauté sont appelées égrégores. Avec la société est arrivée la famille. Ce qui était porté par des centaines de personnes s’est vu transféré sur les seules épaules de la mère et du père. C’est ainsi qu’est née une nouvelle croyance, une nouvelle loi du fonctionnement humain : « maman = amour, papa = sécurité ». C’est l’une de mes découvertes majeures.
Un bébé a absolument besoin d’amour et de sécurité. Qu’il en manque un seul instant et il éprouve la sensation qu’il va mourir. Dans le clan, pas de problème, les enfants baignaient dans l’égrégore qui leur assurait une permanence. Mais les parents ? Comment deux êtres, même s’ils sont fantastiques, pourraient-ils être infaillibles ? Impossible !
Pour conserver cette sensation d’amour et de sécurité, le nourrisson (et plus tard l’enfant) trouve une astuce géniale : il s’accuse de ce qu’il subit ! C’est de sa faute si sa maman lui crie dessus, c’est de sa faute si son père le maltraite.
En s’accusant, il dédouane ses parents : « maman = amour, papa = sécurité » reste vrai ! Pour se sauver, il crée un mensonge. Il modifie la réalité. Il introduit ainsi une nouvelle base dans sa structure psychique : la culpabilité !
Manque de chance, après s’être accusé, il est obligé de rendre vrai le mensonge. Imaginez que votre père vous dise que vous êtes nul. Vous vous accusez : « Papa a raison, s’il le dit, c’est que je n’ai aucune valeur. » Pour le reste de votre vie, vous voici obligé de manifester votre prétendue nullité. Vous êtes obligé de vous dévaloriser continuellement. Evidemment, vous n’en avez aucune conscience. Vous devez comprendre que les commandes de vos mensonges et de vos peurs sont situées hors de votre portée, bien cachées dans votre inconscient.
De plus, en créant le mensonge, vous créez une peur : vous avez désormais peur de perdre la sécurité de votre père (puisqu’il vous trouve nul, il risque de vous abandonner, n’est-ce pas ?). Conséquence, vous avez peur du manque de valeur qui vous habite. Considérez que 99 % de vos peurs reposent sur ce principe : peur d’être rejeté, d’être abandonné, de réussir, d’échouer, d’être humilié, d’être violenté, etc. Derrière chaque mensonge une peur, et derrière chaque peur une limitation, un blocage : manque de confiance, manque d’affirmation, timidité, sacrifice, dévalorisation… La liste est si longue !
Chaque peur, chaque mensonge vous oblige à modifier votre monde et vous impose une interdiction ou une injonction. Je vous invite à balayer votre vie à l’aune de cette nouvelle compréhension. Ecrivez la liste de toutes vos souffrances, de tous vos blocages, de toutes nos limitations… et devinez à quelles injonctions ou interdictions ils correspondent. Avez-vous tendance à vous effacer ? Interdiction de vous affirmer. Peinez-vous à mener vos projets à terme ? Interdiction de réussir. Vous est-il difficile d’accepter cadeaux et compliments ? Injonction de vous dévaloriser. Est-il compliqué d’acheter du neuf (vêtements, objets, voiture, etc.) ? Interdiction de désirer. Manquez-vous de confiance en vous ? Injonction d’échouer. Et en toile de fond, toujours la culpabilité prête à bondir si vous désobéissez au mensonge. Explorez, soyez curieux. Commencez une liste que vous abonderez au fur et à mesure.
Se libérer est possible
Mon coup de génie (si vous me permettez ce manque de modestie) est non seulement d’avoir compris l’origine de nos peurs, mais aussi d’avoir inventé la possibilité de les dissoudre. J’ai créé ma méthode pour me libérez moi-même. Je l’ai améliorée pour qu’à votre tour vous puissiez vous libérez des chaînes de vos peurs. Vous y parvenez en réalisant votre Festen, cette cérémonie de libération magique. C’est l’étape 1 de la Méthode Charbonnier. En moins d’une heure (aboutissement de six séances de travail intense), vous mettez fin aux mensonges qui vous obligeaient à repeindre votre vie. Vous récupérez votre valeur, votre confiance, votre capacité à vous affirmer, le droit de vous aimer et d’être aimé, le droit de réussir, bref, d’exprimer votre vraie nature !
Reprendre les commandes
Vos peurs vous imposaient des injonctions et des interdictions. Grâce au Festen, vous récupérez votre choix. Qu’est-ce que cela signifie ? Eh bien, pensiez-vous que tout était résolu avec votre cérémonie de libération ? Il vous était interdit de vous affirmer et vous voici libre… mais comment s’affirme-t-on ? Vous devez l’apprendre. C’est le propos de ma citation devenue célèbre : « Si le Festen vous libère de la peur de l’eau, il ne vous enseigne pas la natation. »
C’est le but de l’étape 2. Votre conscient doit reprendre les commandes sur votre inconscient. Tout ce qui vous échappait, tout ce qui était plus fort que vous doit être repris en main. La Méthode Charbonnier propose toute une série d’outils adaptés à chaque situation. C’est à cette étape que vous comprenez à votre tour ce que j’ai découvert : le bonheur est une décision. Et il est à votre portée.
La vérité est dans votre cœur
Le petit prince d’Antoine de Saint-Exupéry le dit : « On ne voit bien qu’avec le cœur. » C’est une grande vérité. Nous l’avons perdue car notre mental a pris les commandes sur notre cœur. Toutes les traditions spirituelles le disent, utilisant divers noms comme le mitote ou la maya pour décrire l’illusion dans laquelle nous évoluons. La réalité nous échappe à cause des mensonges qui nous ont fait repeindre notre monde. La Méthode Charbonnier vous propose de retrouver Qui Vous Êtes Vraiment dans votre cœur. Vous reprenez contact avec l’énergie fondamentale de l’Univers : l’amour. L’amour est la force la plus puissante et vous apprenez à la reconnecter et à la mettre à votre service. Vous découvrez cette intelligence prodigieuse et indicible et lorsque vous y résidez, votre état intérieur ne dépend plus aucunement de ce qui se passe à l’extérieur. Vous devenez supérieurement intelligent et hors de portée de la souffrance. C’est l’étape 3 de la Méthode Charbonnier.
De la 3D à la 4D
L’humanité vit dans la troisième dimension, ou 3D. C’est le règne du mental. Tout y est régit par les pensées et les croyances. C’est un monde linéaire, logique… et très limité. La 4D est le règne du cœur. C’est le royaume de Dieu dont parlait Jésus. N’allez pas vous représenter un barbu dans les nuages, inatteignable, invisible. Jésus nous proposait un trajet tangible, et qui finalement se résume en une phrase : « Dieu est en toi, trouve-le ».
L’étape 4 de la Méthode Charbonnier vous permet de vous établir dans votre cœur, de vous installer dans le monde vibratoire de l’amour. Ce n’est pas une utopie, loin de là. C’est un chemin et il est temps pour l’humanité de l’emprunter. La puissance de la Méthode Charbonnier réside dans la dissolution de vos peurs et les étapes qu’elle détermine, ainsi que les outils très concrets qui vous conduisent à votre cœur.
Il est temps
Au fond, vous avez toujours rêvé de cela. Vous savez que quelque chose ne tourne pas rond sur notre planète, que la vie que vous menez n’a aucun sens, que votre énergie vitale est dévorée. Votre vie vous échappe, vous le savez au plus profond de vous. Vous le savez parce qu’un cycle s’achève sur Terre. Il est temps d’en prendre conscience et il est temps de changer de monde. Il est temps d’écouter votre nature. Du fond du cœur, elle vous le clame à chaque seconde : vous n’êtes pas l’Avoir, le faire et le savoir, vous n’êtes pas vos mensonges, vos peurs et vos limitations.
Si vous êtes curieux, si ces quelques lignes suscitent votre intérêt, si vous souhaitez en savoir plus, vous lirez avec joie mon dernier livre : Il est temps.
Vous découvrirez pourquoi il est temps de reprendre votre pouvoir et vos responsabilités, d'avancer sur le chemin qui conduit aux retrouvailles avec vous-même. Il est temps de passer à l’action.
En le lisant, vous saisissez l’origine des dysfonctionnements de notre civilisation. Nous sommes victimes d’un mécanisme qui dépasse la volonté de l’homme, faisant de lui une marionnette et le privant de sa noblesse innée. Je vous offre une vision inouïe et audacieuse, provoquant une résonance nouvelle : enfin, vous comprenez ce qui se passe, enfin, vous comprenez qu’il est temps de mettre un terme à l’involution qui ronge la planète. Il est temps de reprendre les commandes sur les programmes mentaux qui causent vos tourments. Cet ouvrage délivre des clés inédites : des solutions concrètes, originales, atteignables par chacun, qui vous libèrent de vos peurs et vous conduisent à votre nature divine. Plus encore, chacune de ces pages vous confirme ce vous avez toujours pressenti : un grand destin vous attend et il est à votre portée. Oui, en vérité, ce livre est une déflagration.
Vous souhaitez passer à l’action ?
« Entre vous et le bonheur, il n’y a que des peurs. » Si cette formule d’André Charbonnier vous parle et si vous êtes prêt à passer à l’action, à devenir le maître de votre vie, faites le premier pas sur le chemin. Profitez d’un entretien gratuit avec André Charbonnier lui-même pour faire le point. Ce moment privilégié vous permettra de clarifier votre situation et de déterminer ce dont vous avez besoin en ce moment de votre vie.